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claudia bosse / theatercombinat

24. – 26.5.2009 phèdre review racine/sénèque, schauspielhaus wien (a)

dossier en allemand

phèdre

tragödienproduzenten 2009
2481 desaster zone

claudia bosse et l'ensemble français élaboreront une nouvelle version de leur mise en scène de genève pour le schauspielhaus wien avec frédéric leidgens dans le rôle de phèdre.

«phèdre review» est la troisième partie des «tragödienproduzenten reviews» de theatercombinat. ce cycle consiste des adaptations de productions des années 2006 à 2008, dans lesquelles les textes d'eschyle, shakespeare, racine, sénèque et jelinek sont confrontés à leurs réalisations dans des différents villes et lieux, avec des différents castings et des différents institutions.

mise en scène/concept: claudia bosse, phèdre: frédéric leidgens, hippolyte: serge martin, thésée: armand deladoëy, oenone/aricie: véronique alain, théramène/panope/ismène/ extraits de sénèque: marie-eve mathey doret; assistanat: andreas gölles; espace: alexander schellow; traduction/ sous-titres: claudia bosse, andreas gölles

schauspielhaus wien - porzellangasse 19, 1090 vienne,
première: 24.5.2009, 3 représentations

en français, sous-titré en allemand

une coproduction du GRü/théâtre du grütli, theatercombinat et l'association genèveberlin; avec le soutien de wien kultur, pro helvetia, fondation suisse pour la culture et erste bank.

vidéo: PHÉDRE REVIEW PART ONE

vidéo: PHÉDRE REVIEW PART TWO

fotos: severin koller

un ring de boxe comme lieu d’exécution des conflits inextricables entre passions et intérêts
politiques, corps et étatisme. tous les acteurs à l'exception d'une seule ont plus ou moins soixante ans. ils sont nus. ils se lancent dans les disciplines physiques et des formes de représentation de la danse baroque jusqu'au match de boxe, ils se déchirent la peau par la langue. il s'y crée une situation d'espace dans laquelle les corps – tous les corps - sont mis en scène. de cette jonglerie de formes de jouer et de régimes spatiales résulte l'espace pour les spectateurs en tant que témoins, pour leurs mouvements entre la scène et la galerie, pour leurs corps et leurs regards.